Écrire José Abeso, Miguelín Eyegue et deux autres hommes risquent la torture en Guinée Equatoriale

AU 44/10, AFR 24/003/2010, 26 février 2010 ENVOYEZ VOS APPELS AVANT LE 9 AVRIL 2010. Vérifiez auprès de votre section s’il faut encore intervenir après la date indiquée ci-dessus. Merci. Quatre réfugiés équato-guinéens auraient été enlevés au Bénin par les forces de sécurité équato-guinéennes et ramenés dans leur pays d’origine. Le fait que les autorités n’ont pas confirmé où se trouvaient les quatre hommes ni même s’ils étaient entre leurs mains fait craindre qu’ils ne fassent l’objet d’une disparition forcée. Ils risquent de subir des actes de torture ou d’autres formes de mauvais traitements. Les quatre hommes - José Abeso, Miguelín Eyegue et deux autres hommes dont on ignore l’identité - sont d’anciens soldats ayant quitté la Guinée équatoriale au début des années 1990. Depuis lors, ils vivent au Bénin, où ils ont le statut de réfugiés. Selon des sources en Guinée équatoriale, les quatre hommes auraient été enlevés aux environs du 28 janvier par des membres des forces de sécurité équato-guinéennes. Ils seraient arrivés le lendemain à la prison de Black Beach dans la capitale de la Guinée équatoriale, Malabo. On pense qu’ils sont détenus au secret et des informations suggèrent qu’ils auraient été torturés. Les autorités n’ont pas confirmé qu’elles détenaient les quatre hommes. Par le passé, Amnesty International a déjà reçu des informations concernant l’enlèvement de réfugiés équato-guinéens dans des pays voisins par des membres des services de sécurité de (…)

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