Beaucoup d’écoles ont déjà commencé à travailler sur leur pays. Certaines, comme le Lycée Berlaymont, voient les choses plus en grand : en plus du site internet et de la réalisation d’une toile, ils prévoient de réaliser un film en vidéo inspiré du cas d’une femme, violée et tuée par un colonel russe en Tchétchénie.

A Gilly, l’école de coiffure et d’esthétique, qui a choisi l’Inde, organise un défilé de mode axé sur la condition des femmes dans le monde.

A Waterloo, l’athénée royal aborde la Syrie à travers des cours de français (lecture d’un auteur syrien traduit en français), auteur qu’ils vont essayer d’inviter en avril-mai.

Dans un autre genre, un groupe de "jeunes en route" organise pour les scouts un jeu de 24h sur le thème de la Guinée, en plus de la peinture.

Les idées fusent d’un peu partout en Wallonie-Bruxelles, et Visages du Monde commence à révéler sa face...