Bien sûr il y a Francorchamps et son gouffre à euros, les matchs truqués et la mafia chinoise, l’absence au rendez-vous allemand et les blessures de Kompany.
Mais qu’est-ce que cela à côté du salut fasciste (pardon, antique) dans certains clubs de foot italiens ?
A côté des calicots géants de tifosi rappelant aux Juifs que « les fours sont leur maison » ?
A côté de ces « bougnouls » et autres « macaques » entendus dans les stades de Mons, La Louvière ou Charleroi , à chaque action d’un joueur un peu trop bronzé - sauf évidemment quand il inscrit un goal pour l’équipe visitée- ?
Ah, la beauté du sport , le grandiose des cérémonies d’ouverture, la communion des supporters tous unis dans cette belle et noble famille de l’exploit !
Et qu’importe, n’est-ce pas, les légers relents de quelque nauséabonde idéologie.
Citius Altius Fortius et que les meilleurs gagnent... surtout s’ils sont blancs !