Il faut éviter que l’histoire bégaie.
A quinze ans, je suis trop jeune pour interpeller les responsables qui rapatrient les réfugiés et clament bien haut et fort qu’ils ont réussi à en expulser tel ou tel nombre.
Je peux toutefois dire à mon voisin que je ne suis pas d’accord.
Ce n’est pas être donneur de leçons, mais écouter l’histoire pour éviter le pire.