Depuis la ré-instauration de la démocratie par Mme Gloria, les actes de torture et les mauvais traitements persistent au sein du système de justice pénale ainsi que des exécutions extrajudiciaires.
Les victimes sont entre autres, des revendeurs de drogues présumés.
Les femmes placées en détention sont exposées à des risques de viol et d’autres sévices sexuels. Les auteurs présumés d’atteintes aux droits humains n’ont pas été jugés. Des arrestations arbitraires, des cas de torture, des exécutions extra - judiciaires et des « disparitions » ont été signalés dans le cadre d’opérations anti-insurrectionnelles. Des groupes politiques armés se sont livrés à de graves exactions dont des meurtres, des actes de torture et des prises d’otages.
Benjaline Hernandez est une de ces nombreuses victimes.
Cette femme de 22 ans, responsable d’une O.N.G. et d’un journal étudiant, a été abattue par des soldats en même temps que 3 habitants (cf. papier libres).
Il faut toutefois souligner la décision de la présidente de suspendre toutes les exécutions jusqu’à ce que le parlement ait débattu d’un projet de loi d ’abolition de la peine de mort.
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