« L’adoption par l’assemblée nationale guinéenne d’une loi sur la cyber sécurité constitue un net recul en matière de liberté d’expression », a déclaré François Patuel, chercheur sur l’Afrique de l’Ouest chez Amnesty International.
« Avec des notions mal définies et abusives faisant référence aux "fausses informations", aux "données devant être tenues secrètes" et à la criminalisation des injures en ligne, ces dispositions pourraient être utilisées pour envoyer des lanceurs d’alerte ou des personnes exprimant des opinions dissidentes en prison. La Guinée doit protéger la liberté d’expression ».